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Annie Prost

Journal d'une psy réussie.

Dernière mise à jour : 9 sept. 2020

Commentaires et avis de lecteurs.





Commentaire de Boris Cyrulnick, neuro-psychiatre.

"Merci d'avoir bien voulu me faire partager ce manuscrit"

« Chère Madame,

Toute histoire de vie est une aventure. On ne gagne pas toujours, mais quand la victoire arrive on ne voit plus notre passé avec le même regard. On a eu un malheur, il reste dans notre mémoire, mais on y ajoute un sentiment curieux : on en a triomphé.


Le triomphe n’est jamais total, il a fallu se bagarrer, même les bien-partis de l’existence n’ont pas toujours un parcours facile, alors pourquoi faudrait-il que les mal-partis de l’existence n’aient pas de difficultés ?

Votre exemple est une illustration de cette bagarre souvent victorieuse. En plus, votre écriture permet de lire avec plaisir votre témoignage et vos réflexions.

Merci d’avoir bien voulu me faire partager ce manuscrit.

Tous mes encouragements vous accompagnent ».


Boris Cyrulnik, neuro-psychiatre.




Commentaire de Jacques Séguéla, publicitaire.


"Comment ne pas l'aimer"


"Ce n’est pas une bio

Ce n’est pas une démo

Ce n’est pas un récit

Ce n’est pas un précis

Ce n’est pas un essai

Ce n’est pas un pamphlet

Ce livre est tous ces livres à la fois

Comment ne pas l’aimer."


Jacques Séguéla.



AVIS DE LECTEURS


Plusieurs amis ont lu mon manuscrit et m’ont fait des commentaires oraux ou écrits, je les apporte à mon journal car je les trouve intéressants et très divers. Ils donnent une idée de ce que chacun peut y trouver.



Christophe C., ancien PDG d’une filiale d’Havas.


"Je l'ai lu comme un roman, voulant à chaque page savoir la suite".



Ma voisine, de 72 ans.


"Ah non, je ne l’ai pas lu comme un roman, je l’ai lu avec une grande attention car je suis intéressée par tout ce qui est psy."



La mère de David, le libraire de Deauville.


"J'ai été passionnée, et j'ai pensé à la Mère tout au long de la lecture".



Pascale P., m’a encouragée à apporter plus de souvenirs d’enfant, car dit-elle,

"c’est vraiment comme cela qu’on comprend la souffrance de l’enfant."



Paul G., Psy.


"Chère Annie Prost

Je viens de recevoir votre journal.

Passionnant. Je reconnais toutes vos qualités.

Bien cordialement

Paul G"



Medhi, étudiant en médecine et infirmier de nuit.


"Concernant ton livre, j’accroche +++, et je pense qu’il y a énormément de lecteurs qui

pourraient être intéressés par ton livre. D’une part, les zébrés et tous ceux qui ont fait

l’expérience de la résilience, mais aussi les néophytes de la psychologie, car tu cites beaucoup de livres dans la juste mesure: assez pour donner envie de les lire, et pas trop pour laisser le potentiel lecteur se faire son idée. Hâte de le finir! Bisous"



François, ingénieur.


"Bonjour Annie

Je viens de finir ton livre..

Il déborde de matière grise.

Chaque épisode est écrit avec intelligence et recul.

C’est plus qu’une histoire personnelle , c’est une vision du monde à travers

son histoire et ses penseurs ,ecrivains ou artistes.

Bravo pour ce travail d’une vie qui ne peut se lire qu’à petit pas tranquilles..

Je t’embrasse,

François"



Maryline, en talentueuse énarque en a fait une synthèse.


"Chère Annie, j’achève la lecture du Journal que tu as bien voulu me confier, ce qui m’a touchée.

Je le trouve tout à fait singulier, mêlant une réflexion psychanalytique très approfondie et de haut vol sur un parcours atypique, et réflexion sur l’actualité, la culture, la nature humaine.

Je partage à l’évidence certains de tes goûts littéraires : Zweig, Stendhal, Elena Ferrante dont j’ai adoré la tétralogie napolitaine. Bref, l’ensemble est très stimulant et se lit vraiment agréablement.

Je suis heureuse que ce long processus d’écriture t’ait fait progresser dans la compréhension de ce choix que tu as fait de ne pas dépendre du désir des autres et de dépasser ainsi ton destin initial. Je ne doute pas qu’il intéressera aussi de nombreux lecteurs potentiels, et pas seulement en 2100 ! C’est le souhait que je formule.

Amitiés,"


"Très bel épilogue, très bien écrit, particulièrement émouvant et positif ce qui me réjouit beaucoup pour toi et pour tous ceux que ça pourrait aider. Et, en ce qui me concerne, ça fait davantage prendre conscience, en effet, de la chance d’avoir évolué dans un environnement aimant .

NB : quelle jolie petite fille tu étais !"



Françoise P., Psy.


" Voici un petit résumé de mes impressions à la lecture de ton journal :

1) C’est bien écrit, donc facile à lire. Ton récit est poignant et avec des rebondissements (comme la découverte de ta famille paternelle). Tu donnes une image touchante de ta mère qui devait avoir une histoire psychologique assez lourde… Ton journal, j’imagine, peut capter l’intérêt de tout lecteur.


2) Des associations, des comparaisons avec les arts en général, avec la culture, donnent épaisseur et charpente à ton récit. Cette sublimation par l’art fait entrer ton journal dans un domaine qui dépasse ta propre histoire. C’est une invitation à lire ou relire, à voir ou revoir un tableau. Pour ma part, quand je reverrai la Joconde, je sais que mon regard sera chargé d’une nouvelle émotion.


3) L’intérêt psychologique. Ton histoire montre bien que l’absence de traumatismes graves dans la toute petite enfance (moins de deux ans) n’entrave pas le développement des fonctions cognitives. Tu as un sentiment d’abandon qui engendre des souffrances, mais c’est le prix à payer avant analyse pour garder une bonne adaptation…


4) Tu présentes bien intellectuellement et à travers ta propre expérience les théories analytiques que nous devons à Freud."



Marc, médecin,sexologue, m’a également apporté son point de vue de lecteur avec l’oeil du psy.


"J’ai pris le temps de lire ton futur livre… et, ce fut une lecture très plaisante pour moi. J’apprécie beaucoup tes va-et-vient entre les aléas de ta vie et les effets de la psychanalyse.

C’est un exercice intellectuel que tu réussis parfaitement… dans lequel je n’ai jamais osé me lancer… quoique j’utilise Monsieur Freud, chaque jour en consultation, que ce soit en gynécologie ou en séance de sexologie. Transfert et contre transfert me permettent de jongler, voire de provoquer mes patients… et parfois, je trouve ça tout à fait jouissif, au niveau intellectuel !

La lecture de tes mémoires fut tout à fait enrichissante. Tu as beaucoup travaillé pour décortiquer les nombreuses situations que tu as rencontrées. Le choix de tes livres, les expos, les musées, les rencontres, tes moindres faits et gestes, voire parfois tes sentiments, se transforment en scénario de film et rendent passionnant la découverte de ses 137 pages. C’est un splendide exercice intellectuel, que tu présentes comme un jeu… Néanmoins, certains chapitres n’existent pas.

Oubli volontaire ? Rien quant à l’amour, le désir sexuel ou même l’excitation sexuelle. Les hommes, les rencontres… ou même les aventures… nada ! C’est bien sûr par déformation professionnelle que j’aborde ces sujets.

Il faut bien terminer par une conclusion pas trop simpliste, qui classiquement répond à

l’introduction. Pour faire simple, bravo pour tes lignes, tes réflexions et ton futur best-seller !"



LES HERMÉTIQUES : G., F., P.


G. a fait l’effort de le lire jusqu’au bout, mais l’univers de la psy lui est complètement étranger et il n’a jamais ressenti le besoin de s’y intéresser. Son moi et son surmoi de bourgeois sont en parfaite harmonie.


F. personnalité intéressante et complexe avec une névrose bien ancrée, en a lu une partie mais a abandonné car le côté histoire de l’enfant lui donnait le bourdon.


P. a fait l’effort jusqu’à la cinquantième page et a été très content d’abandonner la lecture quand je lui ai dit de ne pas s’embêter pour me faire plaisir car la réaction du trio amis était riche d’enseignements pour moi. À savoir qu’il y a certainement beaucoup de personnes hermétiques au sujet de la psy, mais que celles intéressées sont très motivées.



Magda, Gynécologue.


"Merci Annie pour tes souhaits d’amitié affectueuse et pour ce très beau texte qui aujourd’hui clôt ton Journal Psy. Que de douleur dans cette incapacité à reconnaître que l’on est aimé. Non seulement tu n'as pas trahie trahie ta maman , mais tu l’as prolongée, honorée, réparée... malheureusement elle n’a pas pu revenir...et pourtant, voilà des retrouvailles!

Après le rêve

Magnifiques… et le rêve et l’analyse !"



Marc, à propos de l'épilogue.


"Génial ; Voilà deux pages dans lesquelles tu ouvres ta chemise, tu commences à accepter de te dénuder devant le lecteur.

Je suis ravi d’apprendre que tu as aimé des hommes (peut-être sans t’en rendre compte à l’époque), mais maintenant tu sais que tu es un être aimable – car certains t’ont aimée et que toi-même tu es capable d’aimer.

Ouf ! Un peu d’amour, ça fait du bien au lecteur… et ça peut faire vendre".



Jacotte.


"Je viens de le lire avec beaucoup d’intérêt. Bravo à toi pour ce parcours si difficile mais si passionnant. C’est grâce à toi que j’ai découvert qu’une enfance heureuse et gâtée n’était pas l’évidence ce que j’ai cru innocemment longtemps. Merci pour notre rencontre qui m’a permis d’être moins naïve ! Que de commentaires élogieux et pertinents qui présagent d’un bon augure, à suivre avec impatience. Je souhaite beaucoup de succès à ton ouvrage. Ton amie de lycée d’abord et de vie

ensuite. Je t’embrasse."



Yvette, conseillère d’éducation, formation psychologue.


"Annie, j’ai bien lu ton livre (10 heures quand même), la lecture est fluide, le texte est toujours clair, le mélange des souvenirs lectures, Stendhal, Zweig, Proust, etc. élargit ton analyse en nous maintenant dans le fil de ton histoire. Le fil rouge « Freud » dont tu parles tout au long des pages, à Vienne, Londres, en livres et en psychanalyse soutient la recherche que tu conduis sur toi-même et approfondit la compréhension, de ta propre histoire où il y a tant de douleur à réparer.


Ton livre donnera de l’espoir à d’autres personnes qui dans leur enfance ont été malmenées et ton exemple de réussite professionnelle et sociale en inspirera d’autres. (Réussite qui a toujours fait notre admiration !).

Je t’embrasse et te souhaite une bonne année 2019 avec la concrétisation de l’édition du

livre".



Édith, DRK - EX adjudant chef.


"Me voilà enfin… Parce que je lis lentement, parce que j’ai lu plusieurs fois ce journal…

Quel régal, j’ai été happée, emportée par un récit riche, gourmand, drôle même dans certains passages tristes.

Un parcours hors du commun pour une personne hors norme. Comme je suis admirative, moi non zébrée…

Je reste bouche bée de cette vie si intelligemment bien remplie.

Dans ce récit, j’ai énormément appris, des réflexions, des idées, des réponses… quelle richesse.

Moi qui n’ai pas fait d’études, j’ai adoré toutes ces références, ces citations…

J’espère sincèrement que nous aurons le plaisir de se recroiser".


Jacques-Yves.


"Merci de m’avoir confié votre dernier écrit préédition. Votre épilogue et les commentaires qui suivent m’ont beaucoup ému. Moi qui traite avec un peu de légèreté tout ce qui est psy pour avoir baigné dans un environnement familial très concerné, trop peut-être (soeur et beau-frère psy, frère et soeur psychanalysés) j’ai sous les yeux, grâce à votre récit, le déroulement d’une vie si riche que j’en viens à regretter ma désinvolture vis-à-vis de la psychanalyse. À 81 ans, c’est trop tard, mais votre

parcours me réconcilie avec cette démarche intellectuelle qui peut faire des miracles. Très amicalement.

Jacques-Yves".



Sylviane, petite soeur du foyer.


"Ma chère Annie,

J'ai terminé ton livre. Evidemment je suis bouleversée.

On parle toujours des enfants de parents divorcés ou bien battus, mais rarement des orphelins et pourtant leur souffrance est bien réelle, aussi. Tu l'as bien décrite.

Ton journal et ta psy... auront été un grand moteur dans ta vie. Je n'ai pas eu ce courage.


Nous avons partagé plusieurs années de pensionnat, et pourtant j'ai tout découvert te

concernant. Ce que nous vivions était tellement violent, que nous n'en parlions jamais.

Comme tu l'écris notre placement au foyer, a été aussi une chance pour nous.

Sans cela je serais certainement rentrée à l'usine avec ma mère, alors que j'ai pu faire une petite carrière,. Et toi, tu as eu une grande revanche sur la vie, en réussissant brillamment ta carrière dans la publicité.


Ta bienveillance à mon égard était importante, et pourtant tu n'avais aucun réconfort, alors que moi j'avais la chance d'avoir une mère qui n'a jamais manqué une visite autorisée, heureusement car tout était prétexte pour nous priver de visite. Je te suis également

reconnaissante d'avoir eu une pensée et quelques lignes pour elle, dans ton livre. Elle a

tellement eu une vie dure, comme ta maman.


J'ai abordé le sujet avec mon fils et ses enfants, et ils m'ont demandé de leur confier ton

manuscrit afin de le lire bien sûr. Je te donnerai leurs sentiments.

Lorsque mon fils a quitté la maison, j'ai été ravie (contrairement à mon mari), mais en fait, j'étais soulagée qu'il n'ait plus besoin de nous, ainsi il n'aurait pas eu à vivre ce que nous avions vécu.


Je t'embrasse bien affectueusement. J'espère que tu me donneras de tes nouvelles. Je vais les attendre.

Sylviane."

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1 Comment


Phil Letour
Phil Letour
Aug 29, 2020

Bonjour, J'ai trouvé votre livre à la FNAC. Merci pour votre livre riche d'enseignements. PL

https://livre.fnac.com/a14137067/Annie-Prost-Journal-d-une-psy-reussie

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